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vendredi 30 novembre 2007
Coffee and Cigarettes - extrait
Tom Waits et Iggy Pop,extrait du film de Jim Jarmusch "Coffee and Cigarettes"
From: decay1966
From: decay1966
Antonin Artaud
«Si je suis poète ou acteur ce n'est pas pour écrire ou pour déclamer des poésies, mais pour les vivre [...] Je veux que les poèmes de François Villon, de Charles Baudelaire, d'Edgar Poe ou de Gérard de Nerval deviennent vrais et que la vie sorte des livres»
Lettre du 6 octobre 1945
Antonin Artaud
Lettre du 6 octobre 1945
Antonin Artaud
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Douce Folie - Ballet of kooky angels
Ballet of kooky angels
Passer mon temps à regarder les anges danser
Les anges... les fous, les fous... les anges
Qui dansent
Sans s’arrêter.
Les notes du piano, celles du violon
S’élèvent avec les anges fous
Pour tourner avec eux
Dans ce ballet éthéré
Un ange plus fou que les autres
Ou bien est-ce
Un fou plus angélique que certains
Mêle sa voix aux notes sacrées.
Chant cristallin me volant des larmes
Ainsi qu’un sourire
Afin de ne point briser le charme
Et continuer de regarder... le ballet des anges... les anges danser.
-----------------
Spend time looking at the angels dancing.
The angels... the madmen, the madmen... the angels
Who dance
Without stopping.
The notes of the piano, those of the violin
Rise with the crazy angels
To turn with them
In this ethereal ballet.
An angel, more mad than the others,
Or is it
A kooky, more angelic than some,
Mixes his voice with the sacred notes.
Crystal singing stealing me tears,
As well as smile
Not to break the charm
And continue to look at... the ballet of the angels... the angels dancing.
The angels... the madmen, the madmen... the angels
Who dance
Without stopping.
The notes of the piano, those of the violin
Rise with the crazy angels
To turn with them
In this ethereal ballet.
An angel, more mad than the others,
Or is it
A kooky, more angelic than some,
Mixes his voice with the sacred notes.
Crystal singing stealing me tears,
As well as smile
Not to break the charm
And continue to look at... the ballet of the angels... the angels dancing.
Poème © Liz - 06/nov. 2007
Douce Folie - Rencontre #02
Midi sonnait au grand Clocher.
Je le vis au moment où nous sortions tous deux
De deux endroits bien distinct.
Dans cette rue
Au cœur du vieux quartier,
Se tenait maintenant ce vieux monsieur -
Affublé d’un vieux chapeau marron sur la tête
Le regard malicieux – ainsi que moi-même.
Mon compagnon me rejoignit
Le vieux monsieur vers nous s’avança
«Bonjour les amoureux »
Avec le sourire il nous lança.
Après lui avoir répondu à notre tour
Il nous demanda si point d’offense
Avait été commise
De par l’utilisation du mot « amoureux »
Aucun assurément, bien au contraire,
Mon homme le rassura.
Il nous salua alors de son chapeau
Le sourire toujours aux lèvres
Tout en continuant son chemin.
Je me suis alors retournée vers lui,
C’est là que je l’ai reconnu
C’était le Roi de Coeur
Faisant une pause à ses heures
Dans ses devoirs de souverain
Troquant sa couronne contre un galurin.
Poème © Liz - 12/nov. 2007
Je le vis au moment où nous sortions tous deux
De deux endroits bien distinct.
Dans cette rue
Au cœur du vieux quartier,
Se tenait maintenant ce vieux monsieur -
Affublé d’un vieux chapeau marron sur la tête
Le regard malicieux – ainsi que moi-même.
Mon compagnon me rejoignit
Le vieux monsieur vers nous s’avança
«Bonjour les amoureux »
Avec le sourire il nous lança.
Après lui avoir répondu à notre tour
Il nous demanda si point d’offense
Avait été commise
De par l’utilisation du mot « amoureux »
Aucun assurément, bien au contraire,
Mon homme le rassura.
Il nous salua alors de son chapeau
Le sourire toujours aux lèvres
Tout en continuant son chemin.
Je me suis alors retournée vers lui,
C’est là que je l’ai reconnu
C’était le Roi de Coeur
Faisant une pause à ses heures
Dans ses devoirs de souverain
Troquant sa couronne contre un galurin.
Poème © Liz - 12/nov. 2007
Douce Folie - Rencontre #01
Ce soir, j'ai rencontré une femme
Elle était rieuse mais lasse
Lasse, elle me l'a dit elle-même
"Je suis lasse"
Je lui ai demandé la raison de cet état de grande lassitude
Elle m'a répondu alors en riant,
Tout en gesticulant,
Comme si l'état décrit si avant
Avait disparu par enchantement
"J'aime à en crever
Mais l'ironie est maître de mon histoire
Je vis sans être aimée en retour
Par celui qui reçoit tout mon amour".
La vie n’est pas toute rose parfois
Mais si la folie est là
C’est déjà ça…
Poème © Liz - 18/oct. 2007
Elle était rieuse mais lasse
Lasse, elle me l'a dit elle-même
"Je suis lasse"
Je lui ai demandé la raison de cet état de grande lassitude
Elle m'a répondu alors en riant,
Tout en gesticulant,
Comme si l'état décrit si avant
Avait disparu par enchantement
"J'aime à en crever
Mais l'ironie est maître de mon histoire
Je vis sans être aimée en retour
Par celui qui reçoit tout mon amour".
La vie n’est pas toute rose parfois
Mais si la folie est là
C’est déjà ça…
Poème © Liz - 18/oct. 2007
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poesie - poemes perso / histoires courtes
Douce Folie - Mes fantômes, my ghosts
Mes fantômes
Katarína Bujnová en 1930 tu t'es mariée
La Tchécoslovaquie pour la France tu as quitté
Ton mari depuis peu à l'armée
Te retrouvant seule en pays étranger,
Dans un café, tu rencontras 'one Gypsy heart'
Chaque nuit la maison qui t'accueille tu désertes
Plus proche de ton pays tu t'es sentie
Aimée sans doute aussi
Mais la loi des Rroms est ce qu'elle est
De plus mariée tu étais
Le mari un jour est revenu
Ton Gitan, tu ne l'as plus revu
Un enfant de cet amour est né
Aussitôt abandonnée
Elle te retrouvera bien des années plus tard
Mais morte tu étais, ce fut deux ans trop tard.
Elle gagna cependant un frère et une soeur
Nouveaux arrivants si chers à son coeur.
Je ferme les yeux et je ressens... vous êtes mes fantômes, mes racines
Grand-père grand-mère non connus je vous offre ces lignes.
Poème © Liz - 03/nov. 2007
Katarína Bujnová en 1930 tu t'es mariée
La Tchécoslovaquie pour la France tu as quitté
Ton mari depuis peu à l'armée
Te retrouvant seule en pays étranger,
Dans un café, tu rencontras 'one Gypsy heart'
Chaque nuit la maison qui t'accueille tu désertes
Plus proche de ton pays tu t'es sentie
Aimée sans doute aussi
Mais la loi des Rroms est ce qu'elle est
De plus mariée tu étais
Le mari un jour est revenu
Ton Gitan, tu ne l'as plus revu
Un enfant de cet amour est né
Aussitôt abandonnée
Elle te retrouvera bien des années plus tard
Mais morte tu étais, ce fut deux ans trop tard.
Elle gagna cependant un frère et une soeur
Nouveaux arrivants si chers à son coeur.
Je ferme les yeux et je ressens... vous êtes mes fantômes, mes racines
Grand-père grand-mère non connus je vous offre ces lignes.
----------------
My ghosts
Katarína Bujnová in 1930, you were married
Czechoslovakia for France you left
Your husband recently to the army,
Finding you alone in a foreign country
In a café you met 'one Bohemian heart'
The house which welcomes you, every night, you leave
Closer to your country you felt
Loved doubtless also
But the law of Rroms is what it is
Furthermore married you were.
The husband one day returned
Your Gypsy, you did not see him again any more
A child of this love was born
Immediately abandoned.
She will find you many years later
But died you were, it was two years too late
She won however a brother and a sister
Newcomers so dear to her heart.
I close my eyes and I feel.... you are my ghosts, my roots.
Grandma and Grandpa not-known, I offer you these lines.
Katarína Bujnová in 1930, you were married
Czechoslovakia for France you left
Your husband recently to the army,
Finding you alone in a foreign country
In a café you met 'one Bohemian heart'
The house which welcomes you, every night, you leave
Closer to your country you felt
Loved doubtless also
But the law of Rroms is what it is
Furthermore married you were.
The husband one day returned
Your Gypsy, you did not see him again any more
A child of this love was born
Immediately abandoned.
She will find you many years later
But died you were, it was two years too late
She won however a brother and a sister
Newcomers so dear to her heart.
I close my eyes and I feel.... you are my ghosts, my roots.
Grandma and Grandpa not-known, I offer you these lines.
Katarína Bujnová-Petráš 1911-1988
Poème © Liz - 03/nov. 2007
Libellés :
poesie - poemes perso / histoires courtes
Douce Folie - It's just a play, but...
It's a play, a terrible play
Do you want to dance with me?
In a little corner of my madness, on some Bach's melody
It's a play, a pretty play
Love emerges in the form of flowers
yellow flagstones smile, crazy paving of the maze
It's a play, a beautiful play
Sublimated, beyond the clouds
We waltz in a breath under the moon
Do you want to dance with me?
In a little corner of my madness, on some Bach's melody
It's a play, a pretty play
Love emerges in the form of flowers
yellow flagstones smile, crazy paving of the maze
It's a play, a beautiful play
Sublimated, beyond the clouds
We waltz in a breath under the moon
Poème © Liz - 21/oct/2007
Libellés :
poesie - poemes perso / histoires courtes
Douce Folie : Evasion #01
Ce soir
je m’envole je m’affranchie
Vol à perpétuité sur air liberté affrété
Que je prends avec plaisir
Et non à regret
Abandonnant à temps
L’abruti académique abasourdi
Aux abîmes de sa vie
Que j’abhorre. Adieu
Un jour…
l’aboutissement
J’atterrirai affaiblie mais aérée
Près d’un abri en acacia
Rempli d’absinthe
(Attention aux abus…)
Flanqué d’abricotiers abondants
Temps d’adaptation jouant à Adam (ou Eve)
Ensuite…
l’accomplissement…
Arrivée de l’amoureux que j’accueillerai
Je m’accommoderai assez vite
De ce compagnon accompli et très acceptable.
Accroc à mon acrobate je serais accusée d’être.
A deux, l’amour, l’affection n’auront rien d’abstrait
J’en serais accaparée, absorbée et j’en abuserai.
Poème © Liz - 20/oct/2007
je m’envole je m’affranchie
Vol à perpétuité sur air liberté affrété
Que je prends avec plaisir
Et non à regret
Abandonnant à temps
L’abruti académique abasourdi
Aux abîmes de sa vie
Que j’abhorre. Adieu
Un jour…
l’aboutissement
J’atterrirai affaiblie mais aérée
Près d’un abri en acacia
Rempli d’absinthe
(Attention aux abus…)
Flanqué d’abricotiers abondants
Temps d’adaptation jouant à Adam (ou Eve)
Ensuite…
l’accomplissement…
Arrivée de l’amoureux que j’accueillerai
Je m’accommoderai assez vite
De ce compagnon accompli et très acceptable.
Accroc à mon acrobate je serais accusée d’être.
A deux, l’amour, l’affection n’auront rien d’abstrait
J’en serais accaparée, absorbée et j’en abuserai.
Poème © Liz - 20/oct/2007
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Douce Folie - Réflexion #08
Cliquez / Click.
(création/composition à partir d'une photo de la lune prise le 22 octobre, de morceaux perso de dessins scannés, + bricolage de textures et d'images, extrait de texte de Johnny Depp)
Douce Folie : suite d'Haïkus
Haïku #01
Le soleil tape
Le gros marteau qui frappe
Le long mur laqué
Liz - 21/sept/2007
Haïku #04
Little girouette
Là... tu perds la tête
plonge vite sous ta couette
Haïku #06
Boutonneux et jouvenceau
adepte du pipo
adorable puceau
Poème © Liz - 10/nov/2007
Le soleil tape
Le gros marteau qui frappe
Le long mur laqué
Haïku #02
Moustachu poilu
Moustachu poilu
Le chat dort sous la lune
En haut d’une dune
Haïku #03
Amoureux pleurant
Edenté échevelé
Sa belle envolée
Amoureux pleurant
Edenté échevelé
Sa belle envolée
Liz - 21/sept/2007
--------------
Haïku #04
Little girouette
Là... tu perds la tête
plonge vite sous ta couette
Haïku #05
Cacahuète,
Le monde est chouette !
Mystère des pirouettes
Cacahuète,
Le monde est chouette !
Mystère des pirouettes
Haïku #06
Boutonneux et jouvenceau
adepte du pipo
adorable puceau
Haïku #07
P'tit air de tango
Après une java
Nous finirons en polka
P'tit air de tango
Après une java
Nous finirons en polka
Poème © Liz - 10/nov/2007
Libellés :
poesie - poemes perso / histoires courtes
samedi 10 novembre 2007
Douce Folie : Haïku #08
Namaste O Narcissus
Navel of the world
By necessity
Poème © Liz - 10/nov/2007
Navel of the world
By necessity
Poème © Liz - 10/nov/2007
Libellés :
poesie - poemes perso / histoires courtes
jeudi 8 novembre 2007
mardi 6 novembre 2007
Citation - Franz Kafka
«Les poètes tentent de greffer aux hommes d'autres yeux et de transformer ainsi le réel.
Aussi sont-ils des éléments dangereux pour l’Etat, puisqu'ils veulent transformer.
Or l'Etat et ses dévoués serviteurs n'aspirent, eux, qu'à durer.»
Franz Kafka
Aussi sont-ils des éléments dangereux pour l’Etat, puisqu'ils veulent transformer.
Or l'Etat et ses dévoués serviteurs n'aspirent, eux, qu'à durer.»
Franz Kafka
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