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dimanche 4 septembre 2011

Crea peinture Le Baiser d'après Rodin painting

Deuxième étape du Baiser de Rodin avec aperçu de l'état actuel avant que mes pinceaux ne passent de nouveau par là... 
Prochaine étape ->
-  travail sur la partie dos + fessier du personnage féminin Francesca, certainement avec un peu de craie blanche en plus de l'aquarelle.

-  bosser plus les jambes...
Le Baiser - dessin en cours - wip02 -  04 Septembre 2011


-------------o0o-------------

Travail en cours : le Baiser de Rodin, d'après une version en terre cuite de 1882 représentant Paolo et Francesca, dans cette version le baiser proprement dit est dans l'attente. La main de l'homme ne reposait pas sur la jambe de la femme, mais à environ deux centimètres. Rodin modifiera cette attitude dans toutes les versions suivantes.
Aquarelle/watercolor sur papier couleur.

Paolo e Francesca sont deux figures d'amants entrés dans l'imaginaire sentimentale populaire en devenant l’image par excellence de la passion amoureuse. Ces deux personnages n'appartiennent pas seulement à la litterature, mais aussi à l'histoire car Paolo Malatesta et Francesca da Rimini ont réellement vécu au moyen âge.
Dante Alighieri leur dédie une grande partie du chant V de la Divine Comédie où les deux jeunes représentent les principales âmes condamnées à la peine de l' enfer dantesque, chant V, cercle de la luxure. Virgile et Dante rencontrent dans le deuxième cercle de l'Enfer, parmi ceux qui ont commis le péché de chair, Paolo et Francesca.
source wikipedia.

vendredi 21 janvier 2011

Colombie : protégez la défenseure des droits humains Ingrid Vergara

Signez pour des personnes en danger 


lien:

Quand les paramilitaires essaient de la faire taire Ingrid Vergara est la porte-parole du Mouvement national des victimes de crimes d’État (MOVICE) dans le département du Sucre, au nord-ouest de la Colombie.
 Depuis 2008, Ingrid subit menaces et actes d’intimidation de la part de groupes paramilitaires. Son entourage est également pris pour cible. En 2009, une lettre de menaces de mort à son intention a été remise à sa fille de 14 ans, Cendy Torres. En avril 2008 déjà, des hommes avaient dit à l’adolescente qu’ils allaient la tuer à cause des activités de sa mère. Malgré les plaintes déposées, aucune protection ne lui a été offerte de la part des autorités.

mardi 2 novembre 2010

Sculpture de Larijone The Strider - Aragorn


C'est sur DeviantArt que j'ai découvert avec plaisir cette sculpture en argile: "The Strider"
Un grand merci à Larijone qui m'a donné son autorisation de mettre les photos de son oeuvre ici.
Je trouve la sculpture très belle autant dans la forme qu'avec l'expression choisie pour le personnage d'Aragorn (interprété par Viggo Mortensen).
It's on DeviantArt that I discovered with pleasure this clay sculpture: "The Strider".
A big thank you to Larijone who gave me permission to put photos of his work here.
I find the sculpture very beautiful in form as well as the expression chosen for the character of Aragorn (played by Viggo Mortensen).


Köszönöm szépen, Larijone, te egy művész vagy. :)
(thanks Larion ;) )


buste grandeur nature - life size bust
link: http://larijone.deviantart.com/art/The-Strider


The Strider
©2010 ~larijone

larijone.deviantart The Strider Viggo Mortensen Aragorn

larijone.deviantart The Strider Aragorn

lundi 27 septembre 2010

Pause musicale avec Richie Havens


Richie Havens Freedom Woodstock 1969




L'apparition de Richie à Woodstock s'avère être un tournant crucial dans sa carrière. En tant qu'ouvreur du festival, il captive la foule durant trois heures d'affilée, rappelé sur scène par le public encore et encore… À court de chansons, il improvise sur un vieil air de gospel, Motherless Child qui deviendra l'hymne de toute une génération, Freedom. Le film tourné à l'époque permet à Richie de toucher un public à travers le monde entier. (...)
Richie Havens (né le 21 janvier 1941 à Brooklyn, New York) est un chanteur et guitariste américain. Richie Havens est doté d'une des voix les plus reconnaissables de la pop musique. Son chant fougueux, poignant et plein d'âme est resté unique et intemporel depuis sa première apparition sur la scène folk de Greenwich Village dans le début des années 1960. Sa voix a aussi bien enchanté le public de la Foire de la Musique et des Arts de Woodstock en 1969 que celui de l'investiture présidentielle de Bill Clinton en 1993, jusqu'à son retour au point de départ avec le 30ème anniversaire du festival de Woodstock en 1999, A day in the garden.
Depuis plus de trois décennies, Richie Havens se sert de sa musique pour transmettre un message de fraternité et de liberté. Avec plus de 25 albums à son actif et d'incessantes tournées, il voit toujours sa vocation comme la responsabilité de faire passer des messages. Comme il le dit au Denver Post : " I really sing songs that move me. I’m not in show business, I’m in the communications business. That’s what it’s about for me " ("Je chante des chansons qui m'émeuvent réellement. Je ne fais pas du show business, je fais de la communication. Voilà tout ce qui importe pour moi.")
wikipedia. 

samedi 24 avril 2010

Pause musicale avec Apocalyptica

"Petit" post pour faire découvrir le groupe Apocalyptica à Miss Aurore.

un morceau pour commencer...
Apocalyptica - One


un autre pour continuer...
Apocalyptica - Nothing Else Matters


et un autre pour finir...
Apocalyptica - Enter Sand Man

A band famous for playing Metallica with four cellos


Apocalyptica est un groupe de Metal Classique finlandais composé de violoncellistes et d'un batteur présentant la particularité de consacrer son répertoire à la musique heavy metal, qu'il s'agisse de compositions originales ou de reprises. Apocalyptica a été fondé en 1993 par Eicca Toppinen, Paavo Lötjönen, Max Lilja et Antero Manninen (remplacé par Perttu Kivilaakso après son départ en 1999), tous issus de l'Académie Sibelius d'Helsinki. Le leader et compositeur du groupe est Eicca Toppinen.

Perso., j'ai l'album de 1996 : "Plays Metallica by four cellos" et c'est pas mal du tout.

samedi 23 janvier 2010

Pause musicale avec Django Reinhardt 100 ans

Pour les 100 ans de l'Artiste Django Reinhardt, une vidéo...
je crois qu'aujourd'hui comme les autres jours,
je vais écouter Django avec un plaisir immense tout en pensant à lui... :D




Django Reinhardt - J'attendrai Swing 1939

Jean-Baptiste Reinhardt, plus connu sous le nom de Django Reinhardt (Liberchies, Pont-à-Celles, Belgique, le 23 janvier 1910 - Samois-sur-Seine, France, le 16 mai 1953) est un guitariste gitan de Jazz né en Belgique. Son style de jeu et de composition a ensuite été imité, donnant naissance à un style à part entière : le Jazz manouche. Issu d’une famille manouche, il est encore aujourd’hui l’un des guitaristes les plus respectés et influents de l’histoire du jazz. Trois de ses descendants sont devenus guitaristes : Lousson Reinhardt, son fils aîné issu d'un premier mariage, Babik Reinhardt, son second fils décédé en 2001, et David Reinhardt, fils de Babik, qui poursuit aujourd'hui la voie de son grand-père en tant que jazzman, en refusant de n'être qu'un simple imitateur.
(...)
Hommages 
A l'occasion du centenaire de sa naissance, une place dans le 18e arrondissement de Paris à été baptisée de son nom. Elle se trouve au coin de l'avenue de la porte de Clignancourt et de la rue Binet, non loin de l'endroit où le jazzman a longtemps installé sa caravane.
Compositions 
Il laisse près de 100 compositions, parfois coécrites avec Stéphane Grappelli

 pour en savoir plus : http://fr.wikipedia.org/wiki/Django_Reinhardt 

samedi 26 décembre 2009

Bonnes Vacances Happy Holidays


Je vous souhaite de bonnes vacances de fin d'année.
Je pars sur Paris pendant quelques jours, j'espère revenir avec de belles photos du Grand Palais et autres.
Bisous à vous !

I wish you a happy Christmas (I know, I'm late) and happy holidays too.
I'm going to Paris for a few days, I hope to come back with some nice pictures of the Grand Palais and others.
Hughs and kisses!




Grand Palais...
"
...l'événement allie pour cette nouvelle édition, du 18 décembre au 1er janvier 2010, arts forains, jazz manouche et gitan."

"...The show will be returning to the Grand Palais from December 18 2009 to January 1 2010, and this year's version will bring together the arts of the fairground and gypsy jazz."

programme jours de Fêtes
the end-of-year festivities

(av trouvé sur LJ et modifié en ajoutant de la neige ;) )



vendredi 18 décembre 2009

Liberté - un film de Tony Gatlif

"Petit" post pour un grand film, en mémoire d'une partie mes ancêtres.
 

Rencontre entre un réalisateur incroyable (Tony Gatlif)
et un artiste poète (James Thiérrée)
le temps d'un film : Liberté





liberte tony gatlif James Thierree


Liberté, un film de Tony Gatlif

* Drame
* Date de sortie : 24 Février 2010


liberte tony gatlif


Synopsis :
Théodore, vétérinaire et maire d’un village situé en zone occupée pendant la seconde guerre mondiale, a recueilli P’tit Claude, neuf ans, dont les parents ont disparu depuis le début de la guerre. Mademoiselle Lundi, l’institutrice fait la connaissance des Tsiganes qui se sont installés à quelques pas de là. Ils sont venus pour faire les vendanges dans le pays. Humaniste et républicaine convaincue, elle s’arrange, avec l’aide de Théodore, pour que les enfants Tsiganes soient scolarisés. De son côté, P’tit Claude se prend d’amitié pour Taloche, grand gamin bohémien de trente ans qui se promène partout avec son violon sur l'épaule. Mais les contrôles d’identité imposés par le régime de Vichy se multiplient et les Tsiganes, peuple nomade, n’ont plus le droit de circuler librement : Théodore cède alors un de ses terrains aux bohémiens, désormais sédentarisés. Tandis que les enfants Tsiganes suivent les cours de Mademoiselle Lundi, P’tit Claude est de plus en plus fasciné par le mode de vie des Bohémiens – un univers de liberté où les enfants sont rois. Mais la joie et l’insouciance sont de courte durée : la pression de la police de Vichy et de la Gestapo s’intensifie et le danger menace à chaque instant. Comme ils l’ont toujours fait depuis des siècles, les Tsiganes devront reprendre la route…



Avec : Marc Lavoine , Marie-Josée Croze , James Thierree, Rufus,
Carlo Brandt, Arben Bajraktaraj, Georges Babluani, Bojana Panic



Vidéo France 3 ->









(photos du film et entretien avec Tony Gattlif, ...)



Extrait de l'entretien :

"Comment est née l'idée de LIBERTÉ ?
J'avais envie de faire un film sur l'holocauste des roms depuis que j'ai commencé à faire du cinéma. Mais le sujet me faisait peur. Les Roms que je rencontrais me disaient souvent : "Fais-nous un film sur la déportation des Roms".
Début 2007, participant à un colloque international des Roms à Strasbourg, des jeunes élus roms de la communauté européenne m'ont fait la même demande. Ils me disaient à quel point ils souffraient de ce manque de reconnaissance, de l'ignorance des autres vis-à-vis de leur propre histoire.
Je ne voyais pas comment faire ce film, moi qui suis un cinéaste qui aime la liberté de la caméra, comment respecter les règles d'une stricte reconstitution. Et je reculais de peur de mal faire en réalité.
Et puis un jour, j'apprends que Jacques Chirac va rendre hommage aux Justes en les réunissant au Panthéon. Je me suis dit : on va enfin savoir si certains Justes ont sauvé des Tsiganes. Malheureusement ils n'étaient pas présents. Je me suis mis à les chercher.
J'ai fini par trouver une anecdote de quelques lignes : "Le destin d'un dénommé Tolloche fut particulièrement tragique. Interné à Montreuil- Bellay, il réussit à se faire libérer après avoir acheté, par l'intermédiaire d'un notaire, une petite maison à quelques kilomètres de la ville. Incapable de vivre entre quatre murs, il reprit la route pour retourner dans son pays d'origine, la Belgique. Il fut arrêté dans le Nord et disparut en Pologne avec ses compagnons d'infortune".
C'est le destin de ce Tolloche qui a pris tous les risques pour sauvegarder sa liberté qui m'a décidé à faire ce film. Et puis il y a ce Juste, un notaire, qui lui aussi a pris tous les risques pour tenter de le sauver...


(...)


Comment avez-vous écrit Liberté ?
J'ai écrit la première trame du scénario en un mois. Je me suis libéré du poids que je portais depuis longtemps. Tout est devenu clair lorsque j'ai compris que je ne pouvais raconter cette histoire qu'à travers deux Justes. Théodore, un maire et vétérinaire de village et Mlle Lundi, l'institutrice. Les deux m'ont été inspirés de personnages qui ont existé : Théodore, le notaire qui a tenté de sauver Tolloche et sa famille et Mlle Lundi d'après l'histoire vraie d'une institutrice, Yvette Lundy, qui travaillait à Gionges dans la Marne. Résistante, elle fut arrêtée puis déportée. Elle m'a aidé à travailler toutes les scènes qui concernent son personnage et l'école.
Je me suis aussi beaucoup servi de mon histoire personnelle et de gens qui m'ont aidé dans mon enfance et ma jeunesse : mon instituteur, mes éducateurs, ma professeur d'art dramatique. Je connais bien les Roms de tous les pays, je sais comment ils sont. Entre aujourd'hui et 1940, ils n'ont pas changé. Je n'ai eu aucun mal à les décrire. J'ai reconstitué une famille tsigane, qui traverse l'Europe et qui a été coincée en France par la guerre. Pendant un an, j'ai travaillé sur cette reconstitution. Les hommes ont laissé pousser leurs cheveux et leurs moustaches. Tous les acteurs ont fait un régime car à cette époque il n'y avait pas à manger. Nous avons construit trois roulottes identiques à celles de 1940. Les Tsiganes nomades ne sont pas quelque part, on ne va pas les chercher. Un jour, ils arrivent au bout d'un chemin au fond d'un bois, on les voit apparaître comme le vent. On ne sait pas d'où ils viennent, on sait juste quand ils arrivent. Pour leur première apparition dans le scénario, je les ai décrits de cette façon. Une fois cette ébauche de scénario terminée, je me suis aperçu qu'il me manquait l'âme tsigane.
L'âme tsigane n'est pas facile à raconter et à faire comprendre. Il n'y a pas de mot dans la langue tsigane pour signifier Liberté. Les Tsiganes n'emploient pas ce mot car ils sont libres. Il fallait que je trouve un personnage qui, à travers sa pureté, sa naïveté, sa fantaisie, sa liberté, ses folies, représenterait toute la communauté rom. Ce fut Taloche. Il m'a fallu ensuite près d'un an pour arriver au scénario final. En écrivant ainsi, j'ai du même coup approché les raisons du silence qui entoure Samudaripen (le génocide des roms). Les Tsiganes ont peur des fantômes. Lorsqu'ils entrent dans une cave, ils en sortent en courant de peur d'y croiser des revenants. Taloche est ainsi : il a peur des morts. Que s'est-il passé à la fin de la guerre, lorsque les Tsiganes ont compris que des centaines de milliers d'entre eux avaient péri exterminés ? Ils ont eu peur de ces morts, peur de les réveiller, peur qu'ils reviennent. Peur d'en parler, en définitive. Aujourd'hui c'est fini, mais cette crainte a existé jusque dans les années 80.


(...)


James Thiérrée, qui joue le personnage de Taloche, n'est pas rom...
C'est exact. Pour ce rôle, je voulais un musicien, quelqu'un qui soit à la fois capable de jouer de la musique, de monter aux arbres et d'en tomber. Sans tricher... Impossible a priori de trouver un tel acteur. Et puis un jour, j'ai vu James au Théâtre de la Ville à Paris. Je n'avais jamais vu ça. J'étais impressionné. C'est l'acteur dont je rêvais pour ce rôle.
N'étant pas rom, il a fait un travail énorme pour l'être. Pendant six mois, il a appris à parler la langue rom, à jouer de la musique tsigane et surtout à se laisser posséder par la liberté de Taloche.


liberte James Thierree


(...)


En voyant le film, on est frappé par votre volonté de casser les clichés, même si la représentation des roms que vous faites est très précise.
Dans LIBERTÉ, j'ai cherché à démythifier certains clichés. Par exemple pour la musique, il y a cette scène où on les voit donner un concert à... des poules ! Je me suis amusé de ce cliché bien que la musique, dans les films et concerts, ait contribué à faire aimer et accepter les Tsiganes.
Je voulais les montrer tels qu'ils sont, par exemple maquignons, forgerons, musiciens. Et s'ils refusent que leurs enfants aillent à l'école c'est de peur qu'ils ne perdent leur âme.
La scolarisation des enfants roms, c'est le problème majeur encore aujourd'hui. Dans LIBERTÉ l'école est un lieu central. Sauf que s'ils veulent bien y aller, c'est à la condition que les enfants soient payés car ils considèrent que c'est un travail. Finalement, ils décident quand même de s'y rendre mais c'est avant tout pour manger, pour profiter de la distribution de gâteaux que fait l'institutrice, Mlle Lundi. D'ailleurs, une fois leur portion avalée, ils déguerpissent


(...)


Et avec James Thiérrée ?
Je lui racontais souvent des anecdotes roms que je connaissais pour "l'habiter". Je voulais que Taloche ait des antennes, qu'il sente le danger. Comme les oiseaux qui sentent l'orage arriver. James est comme ça, animal. Un exemple : pour une scène de danse, je lui ai écrit une musique de guerre avec des gens qui crient en rom : "Ne tirez pas !", "Arrêtez le meurtre !". Quand James est arrivé et que je lui ai demandé de danser sur cette musique, on avait l'impression qu'il faisait l'amour avec la terre, qu'il était en osmose avec elle. Un animal qui baisait la terre."


Liberte film de Tony Gatlif

samedi 21 novembre 2009

Astarte : peinture et poème de Rossetti


Astarte Syriaca by Dante Gabriel Rossetti 1877

"Mystery: lo! betwixt the sun and moon

Astarte of the Syrians:
Venus Queen
Ere Aphrodite was.
In silver sheen

Her twofold girdle clasps the infinite boon

Of bliss whereof the heaven and earth commune:

And from her neck's inclining flower-stem lean

Love-freighted lips and absolute eyes that wean

The pulse of hearts to the spheres' dominant tune.

Torch-bearing, her sweet ministers compel
All thrones of light beyond the sky and sea

The witnesses of Beauty's face to be:

That face, of Love's all-penetrative spell

Amulet, talisman, and oracle, -
Betwixt the sun and moon a mystery.


"
Spring is coming and the libations have been made.
The swords have been sharpened. Let the festival begin.

Astarte needs priests if we're going to overthrow patriarchal monotheism.

mardi 29 septembre 2009

Nouvelle bannière-entête #04

Nouvelle bannière parée des teintes de l'Automne

Humeur : un peu fatiguée mais l'humeur est au beau fixe
Musique lalala : Miss Li -> 'Don't try to Fool Me' (musique de la série Weeds)
Activité : mise à jour du blog avec changement de l'entête / bannière et... ensuite boulot


Desperate Romantics
Dante Gabriel Rossetti (l'acteur Aidan Turner) et les Desperate Romantics (inspiration pour l'ancienne bannière) reviendront de temps en temps sur le blog ainsi que leur courant préraphaélite.

Mais pour l'instant retour à un petit air de folie avec les couleurs automnale.


+ Récapitulatif de ce que je mettrais sur le blog prochainement :
D'autres cartes postales anciennes de 1890 à 1910 ; la suite des photos du Parc Paradisio avec animaux et décors + photos de 5 concerts dont 3 plus fournis que les 2 autres et certainement des photos de Paris si le temps le permet (photos non encore prises, je vais à Paris le 4 octobre). En ce qui concerne le dessin, la peinture, la poésie... surprise... En plus, j'ai une envie de me remettre à sculpter qui devient assez forte..

+ Les films que j'attends avec impatience :

  • L'imaginarium du Docteur Parnassus - The Imaginarium of Doctor Parnassus de Terry Gilliam
  • Alice au Pays des Merveilles - Alice in Wonderland de Tim Burton

Tom Waits imaginarium of doctor Parnassus Mad Hatter

jeudi 27 août 2009

Nouvelle bannière-entête #03


Nouvelle bannière pour la "rentrée" (que vilain mot)

En attendant que je finisse ma peinture sur toile de Heath Ledger (il y a eu énormément de changements), que je prépare mes dernières photos de l'été pour les poster...
...Exit la bannière avec le magnifique chapeau de ce Cher Chapelier Fou (lui continuera toujours de me faire rêver et d'être une muse)...
...En parlant de muse, bonjour à la nouvelle bannière inspirée de la série anglaise sur le préraphaélisme (Pre-Raphaelite BrotherHood)
: Desperate Romantics que j'ai très largement apprécié ces dernières semaines (vivement les dvds que je retrouve Dante Gabriel Rossetti (Aidan Turner), William Holman Hunt (Rafe Spall), John Everett Millais (Samuel Barnett), Fred Walters (Sam Crane), Lizzie Siddal (Amy Manson), ...).

Petit topo sur la série ici -> (message du 10/08/2009)
http://neverneverland.../...Desperate-Romantics

Edit :
bannière en question -> cliquable pour voir la totalité

banner banniere desperate romantics Aidan Turner

jeudi 6 août 2009

James Thiérrée - "Raoul" le nouveau spectacle ♥



James Thiérrée, sculpteur d'illusion

source : lesoir.be/...article_702348.shtml

« Raoul », le nouveau spectacle de James Thiérrée, est en création mondiale à Namur, avant de tourner à Paris et Londres.



le 13 mai 2010 - frelon vert a dit...

On vient de l'apprendre aujourd'hui, James Thiérrée est de retour à Namur en septembre 2010 et en janvier 2011. La meilleure nouvelle de la journée!!!
theatre-de-namur-saison-2010-2011-le-retour-de-james-thierre.html

ENTRETIEN

Un épais mystère entoure la nouvelle création de James Thiérrée. Ça cloue, ça coud, ça visse dans les coulisses du Théâtre de Namur, et l'on se prend à deviner quelles sortes de créatures étranges viendront cette fois hanter le spectacle de l'artiste français, fils de Jean-Baptiste Thiérrée et de Victoria Chaplin, célèbres façonneurs d'imaginaires (le Cirque Bonjour, le Cirque imaginaire et le Cirque invisible). A quatre ans déjà, James arpente le chapiteau de ses parents en compagnie de sa sœur Aurélia. Il travaillera ensuite au théâtre et au cinéma, sous la direction de Peter Greenaway, Bob Wilson, Coline Serreau, Raul Ruiz ou Benno Besson, avant de créer ses propres spectacles dont « La symphonie du hanneton » qui lui vaut quatre Molière en 2006, ou encore la somptueuse « Veillée des abysses », mélange de cirque, danse, mime et humour. Aujourd'hui, il s'allie à sa mère Victoria (fille de Charlie Chaplin), aux costumes et accessoires pour créer « Raoul », seul en scène tissé de rêves faits main et d'imaginaires délicatement artisanaux. L'auteur et acrobate lève un coin du voile sur ce Raoul pour mieux en épaissir le mystère.

C'est la première fois que vous jouez seul ?

Oui, l'idée était d'en revenir au plus petit dénominateur, de parler au singulier comme si dans la plus petite molécule se trouvait la plus grande forme de mystère. Puis je me suis laissé divaguer sur cette idée. Mais je ne suis pas vraiment seul sur scène. Disons que Raoul est le seul de son espèce, mais il est entouré de poissons, méduses, fossiles d'oiseaux et autres pachydermes créés par ma mère. Je discute beaucoup avec elle pendant la création.

D'habitude, elle fabrique des créatures originales qui ne ressemblent à rien et sont créées à partir d'objets du quotidien. Mais cette fois-ci, je voulais évoquer des animaux connus, terriens, plutôt que de jouer sur la transformation d'objets. D'autre part, je ne suis pas complètement seul, car il y a trois autres personnes qui manipulent les créatures, me servent de doublures pour les transferts d'ombre, etc.

Vous semblez vouloir envelopper Raoul de mystère ?

J'essaie de ne pas m'enfermer dans un concept. Dans « La veillée des abysses », j'avais annoncé m'être inspiré de « La vie des abeilles » de Maeterlinck, mais au final le spectacle n'avait plus grand-chose à voir avec ça. Je reste dans l'évocation, dans les codes mystérieux du langage, de l'inconscient. Je préfère rester flou sur la narration, sur l'intention première. Je n'aime pas les définitions trop fortes, tout ce qui peut enfermer l'exploration. C'est la même chose dans ma vie et c'est d'ailleurs le thème du spectacle : on découvre quelqu'un qui se libère, qui se réveille. Raoul, c'est beaucoup de moi, forcément. Je ne peux pas vous en dire beaucoup parce que j'écris ce spectacle à mesure que je répète et je continue souvent à l'écrire après la première représentation.

Pouvez-vous nous en dire un tout petit peu plus tout de même sur Raoul ?

Je voulais dessiner un personnage de théâtre au sens le plus noble du terme sauf qu'il ne passera pas par la parole. Ce n'est pas un spectacle sur la solitude, mais une pièce sur un homme seul. S'il se parle, c'est à lui-même.

J'emmène Raoul dans un voyage mental aux allures épiques. Au début du spectacle, il est enfermé dans une tour et assiégé par lui-même. Une brèche dans cet enfermement le conduira à résoudre une énigme. Raoul n'est pas un superhéros. Ce n'est pas un roi, c'est un être humain qui renferme en lui un vaste monde.

Vous marchez fort à l'instinct ?

Au départ, j'ai une tonne d'idées et je laisse les choses se mettre en place. Une chose s'exprime qui en amène une autre qui modifie la première. Tout ça fait une pâte à modeler informe qui s'affine avec le temps. On fabrique les accessoires au fur et à mesure. J'aime beaucoup l'artisanat au théâtre. J'évite les moteurs et les projections vidéo. Pour fabriquer l'illusion, je préfère les fils qu'on tire, les trappes qu'on ferme, les jeux de lumière, etc.

Ce goût de l'artisanat, vous le tenez de vos parents ?

Notre mère nous a transmis ce goût des choses fabriquées et imaginées. Les enfants sont des éponges. J'ai juste maintenu une main sur ce langage et cette innocence-là. Je n'ai pas oublié le côté primitif de cette innocence, dans le bon sens du terme, dans le sens d'aller directement à la simplicité d'une idée et la livrer en toute bonne foi. Je préfère les spectacles qui renferment des profondeurs même inconnues du metteur en scène plutôt que ceux qui tentent de tout analyser.



Trailer "Raoul" de James Thiérrée





Extrait du spectacle (vidéo : qualité assez pauvre)




James Thiérée heralds his fourth piece, after La Symphonie du Hanneton, La Veillée des Abysses and Au Revoir Parapluie, a solo, as the end of a cycle. But just where it’s headed is a mystery. He sets the scene: ‘Raoul, a fallen king, has taken refuge in a tower he has built to shield himself from the world and from his demons…Yet one beautiful day, a visitor appears and courageously attacks both the building and its occupant. It is none other than Raoul, who has arrived to liberate himself from himself.’ James Thiérée’s shows mix pure poetry, theatre, circus arts, music and dance, and their magical moments have made a lasting impression on countless audiences. His silent, visual art speaks straight to the heart. Here, pleasure, happiness and surprise are more than just words.
http://www.maisondeladanse.com/en/.../james_thierree/


Articles :
http://www.actu24.be/article/mag/theatre/james_thierree_en_solo/283202.aspx
http://allezlesverts.lalibreblogs.be/..premiere-mondiale-de-l-enigmatique-raoul.html
http://www.lalibre.be/culture/scenes/..raoul-tout-un-prenom.html
http://www.lalibre.be/culture/scenes/.../james-thierree-seul-a-seul.html

James Thierrée, l'étoffe de ses songes
http://www.lefigaro.fr/theatre/2008/...-james-thierree-l-etoffe-de-ses-songes-.php

jeudi 18 juin 2009

2 romans de publiés pour Jean-Luc

Superbe nouvelle !
Jean-Luc, un ami, a eu ses deux romans de publiés :

"Une vie dans le noui" et "L'oeil du coeur"
Les livres sont en vente sur chapitre.com, amazon.fr, placedeslibraires.com, alapage.fr, etc...
Je suis très heureuse pour lui, toutes mes félicitations !

Une vie dans le noui


Une Vie Dans Le Noui

L'avis des éditeurs :
Une vie dans le noui Un évanouissement, et leurs vies s'animent ! Elle, c'est Elle, une prostituée, et lui, c'est le Docteur, enfin... le clochard ! Monnayer son corps ou la pitié, c'est le débouché du trottoir. Un cursus peu enviable qui peut s'imposer d'où que l'on vienne, et qui s'éternise souvent. A deux, ils vont tenter l'impossible : diminuer cette éternité de moitié, tout au moins la rendre supportable ! Chaque objet, végétal, animal ou humain croisé est une source de réflexion pour prendre conscience de sa propre existence et trouver sa route, mais attention, attention aux inclassables, attention à... l'Autre !

http://www.amazon.fr/Une-Dans-Noui-Heris-Jean/dp/2810602743/

L'oeil du coeur



L'Oeil Du Coeur


L'avis des éditeurs :L'oeil du coeur Une façon originale de sauver la race humaine, d'étendre l'amour. N'y a-t-il qu'une solution fantastique pour y arriver ? La vision du coeur, la musique dans les oreilles, des tics dans tout le corps, des filles sans tabou, et un bord politique montré d'un certain doigt, voici cinq éléments majeurs de ce hors d'oeuvre ; l'oeuvre restant à réaliser dans la vie réelle... Une scène d'amour plutôt chaude à déclarer, aussi !

http://www.amazon.fr/Oeil-Coeur-Heris-Jean-Luc/dp/281060388X/

mardi 24 mars 2009

Pause ciné avec Satra - Tabor Ukhodit v Nebo ♥

Les Tsiganes montent au ciel
▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪
Satra
Табор уходит в небо - Tabor ukhodit v nebo
Gypsies Are Found Near Heaven
The Gypsy Camp Vanishes into the Blue



1975
http://www.imdb.com/title/tt0073781/



Réalisation : Emile LOTEANU (Эмиль ЛОТЯНУ)
Scénario : Emile LOTEANU (Эмиль ЛОТЯНУ)

Interprétation
Pavel ANDREITCHENKO (Павел АНДРЕЙЧЕНКО)
Borislav BRONDOUKOV (Борислав БРОНДУКОВ)
Ivan CHKOURIA (Иван ШКУРЯ)
Serdjou FINITI (Серджу ФИНИТИ)
Grigore GRIGORIU (Григоре ГРИГОРИУ)
Barasbi MOULAEV (Барасби МУЛАЕВ)
Lialia TCHERNAIA (Ляля ЧЕРНАЯ)
Svetlana TOMA (Светлана ТОМА)

Images : Sergueï VRONSKI (Сергей ВРОНСКИЙ)
Décors : Felix YASSIOUKEVITCH (Феликс ЯСЮКЕВИЧ)
Musique : Evgueni DOGA (Евгений ДОГА)
Ingénieur du son : Mark BRONCHTEIN (Марк БРОНШТЕЙН)
Production : Mosfilm

Prix et récompenses :
Meilleure réalisation à San Sebastian (1976); Premier prix à Belgrade et Prague (1977)
DVD avec sous-titres - Editeur : Ruscico

Synopsis
L'action se déroule au cours de la deuxième moitié du XIXème siècle dans une province de Bessarabie non loin de l'Empire austro-hongrois. Quatre tziganes galopent dans les montagnes : ce sont des voleurs de chevaux. Ils concluent avec un riche marchand une transaction fondée sur la dette d’honneur : la ruse du propriétaire s’incline là devant le magnétisme de Zobar, le chef des voleurs. Au cours d’une expédition, les tziganes sont surpris et poursuivis par l’armée austro-hongroise : trois d’entre eux meurent sous la mitraille impitoyable des soldats. Zobar, blessé, parvient à leur échapper et tombe épuisé dans un champ. Une belle et mystérieuse tzigane surgit mystérieusement dans la broussaille, guérit Zobar avec de « la poussière de lune », et disparaît. Zobar rentre au camp, retrouve les siens, mais il est hanté par le souvenir de la magicienne. On le voit ensuite, au cours d’une expédition, faire une halte chez Youlichka, une jeune autrichienne blonde et douce, aveugle, avec qui il entretient une relation tendre fondée sur la compassion. Mais Zobar est recherché et, pour sauver sa tribu, menacée de représailles, son père le livre à la police. Zobar est condamné à la pendaison : au moment de l’exécution, le farouche héros est sauvé par son cheval, amené jusqu’au pied du gibet par son fidèle compagnon d’aventures, lequel est tué par la police alors que les deux hommes s’enfuient. L’errance reprend pour Zobar, mais ensorcelé par la beauté de Rada, la magicienne, il la rejoint. Elle vient de refuser une demande en mariage du gentilhomme Silad, prêt à sacrifier sa fortune à l’amour qu’il lui voue. Rada est une femme libre : elle ne conçoit pas la vie hors du voyage. Mais Zobar est de sa race : irrésistiblement attirés l’un vers l’autre, les deux héros célèbrent leur union, au milieu des danses et des chants de la tribu. Pourtant, au lendemain d’une nuit de volupté, Rada a disparu. Zobar la rejoint et, reconnaissant qu’il est devenu l’esclave de la tzigane, il la demande solennellement en mariage. Celle-ci, dans un suprême acte de fierté provoque son amant, l’humiliant publiquement. Mortellement blessé dans son honneur, Zobar la poignarde dans une étreinte passionnée. Le père de Rada venge sa fille : il poignarde à son tour le meurtrier.

Commentaires
L’histoire est un éloge rendu au peuple tzigane, à son irréductible fierté, à la singularité mystérieuse de sa passion pour la liberté, conquise au prix de sacrifices qui toujours ont une issue tragique. La lutte avec la police des voleurs de chevaux, qui meurent attachés à leur monture plutôt que de se rendre, le refus de Zobar et de Rada de vivre un amour qui leur semble une prison, sont les faits dominants du film : ils exaltent le sens de l’honneur des protagonistes, qui ne s’inclinent que devant la mort. La dimension historique du récit souligne la persécution permanente que l’ordre social, économique (le marchand) et politique (la police), inflige au peuple nomade. L’histoire passionnelle qui unit et sépare Zobar et Rada est montrée en contrepoint de l’amour éprouvé par le gentilhomme pour Rada et par Youlichka pour Zobar. Silad et Youlichka appartiennent à l’ordre bourgeois, celui qui paie pour satisfaire ses convoitises, et celui qui condamne au gibet un homme dont la tendresse a conquis le cœur de la jeune aveugle. La passion des tziganes est de celles qui ne s’achètent ni ne se soumettent. Elle est liée à la magie : envoûtante et maléfique, elle appartient à des forces secrètes, irréductibles à l’ordre humain.
La musique enveloppe le film de sa beauté tragique : elle règne sur les scènes de fêtes, auxquelles les danses et les chants des femmes donnent leur pouvoir d’envoûtement, et sur les scènes de deuil où s’exprime la pathétique sagesse du peuple voué à la malédiction.

source :
http://www.kinoglaz.fr/u_fiche_film.php?lang=fr&num=782
This colourful, music-filled and sensual melodrama based on early stories by Maxim Gorky tells the fatal love story between the beautiful and rebellious girl Rada and the handsome horse thief Zobar. The story is set in early 20th century Bessarabia, now part of Moldova, then belonging to the Austro-Hungarian Empire.

The film is based on the early stories by the outstanding Soviet writer Maxim Gorky.
There are several interwoven love lines in this beautiful, poetic drama: of the proud beauty Rada who bewitched the horse thief Loiko Zobar, of golden-haired Yulishka who was in love with Loiko, of noble Siladi, passionately enamored of Rada… The action in the Gypsy camp is set against the background of lifestyle and traditions of the Austro-Hungarian Empire’s provincial outskirts – the late 19th-century Bessarabia.

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source pour la vidéo :
noiseemitter

mardi 20 janvier 2009

Personnalité : Paul Watson

Y-a t'il encore des héros de nos jours ?
Y en a t'il eu un jour ?
Ou est-ce simplement des personnes ayant la force de caractère nécessaire pour oser aller jusqu'au bout de leur opinion ?

Un de mes héros, si je peux le nommer ainsi, s'appelle Paul Watson.



Paul Watson est un militant activiste canadien (et pas des moindres), né en 1950 à Toronto, il est fondateur de la Sea Shepherd Conversation Society.
Les baleines doivent l'aimer, en tout cas, lui les aime, il les aime assez pour foncer sur les tueurs de baleines.

"I have been honored to serve the whales, dolphins, seals - and all the other creatures on this Earth. Their beauty, intelligence, strength, and spirit have inspired me. These beings have spoken to me, touched me, and I have been rewarded by friendship with many members of different species.

If the whales survive and flourish, if the seals continue to live and give birth, and if I can contribute to ensuring their future prosperity, I will be forever happy."

- Paul Watson


Photo : Paul Taggart/WPN News

Petit bio (wikipedia)

Paul Watson est né le 2 décembre 1950, à Toronto, au Canada. Il est le fils d’Anthony Joseph Watson et d'Annamarie Larsen. Il a grandi dans la ville de St. Andrews-by-the-Sea, au Nouveau-Brunswick. Jeune déjà, il pistait les trappeurs pour détruire leurs pièges. Il a travaillé comme guide à l'Expo 67, avant de se rendre à Vancouver.

En 1968, il s'engage dans les Gardes-Côtes canadiens, où il a servi dans des hovercrafts de secours en mer. Il travaille ensuite sur un navire marchand norvégien, le Bris.

Avec Greenpeace

En octobre 1969, il participe à une protestation du Sierra Club contre les essais nucléaires. Puis ensuite, il fera partie de l'association appelée aujourd'hui Greenpeace. Il en signera le document fondateur, sans rôle précis dans la création de l'association. Il naviguera sur des navires de Greenpeace, comme l'Astral en 1972.

En 1973, il proposa ses services comme médecin aux membres de l'American Indian Movement, pendant la crise de Wounded Knee, dans le Dakota du Sud.

Durant les années 1970, il continua à militer à Greenpeace, en tant que membre et marin. En 1975, il participa à une campagne contre les baleiniers soviétiques. Sur ce point, la biographie officielle de Paul Watson écrit : "Durant la confrontation avec le baleinier russe, un cachalot, harponné et mourant, surgit au-dessus du petit bateau de Paul. Il remarqua un clignement dans l'œil du cachalot agonisant. Il pensa que la baleine avait compris ce qu'ils essayaient de faire. Il regarda le magnifique léviathan soulevant son corps près du bateau, passer sous les vagues et puis mourir. Ces quelques secondes à regarder dans l'œil de cette baleine mourante ont changé sa vie pour toujours. Il s'est voué à devenir un défenseur perpétuel des baleines et des autres créatures marines"

En 1977, Paul Watson démissionna de Greenpeace, en désaccord avec la politique des instances dirigeantes (certains prétendent qu'il a été expulsé; c'est de toute façon le cas de bien d'autres groupes devenus des associations indépendantes). Paul Watson aussi créa son propre groupe, la Sea Shepherd Conservation Society.

Sea Shepherd

Le premier navire de l'association, le Sea Shepherd ("Berger de la Mer") fut acheté en 1978, avec l'aide de la Fund for Animals. La SSCS s'est vite fait connaître comme l'une des associations écologistes les plus controversées, connue pour ses actions provocatrices en plus des protestations habituelles. Ses tactiques incluent parfois l'éperonnage des navires baleiniers illégaux en pleine mer, ou le sabotage de deux navires dans un port islandais. En tout, il aurait envoyé par le fond quelques 9 bateaux baleiniers. Paul Watson resta le chef de l'association, appelé "Capitaine" par ses membres.

Autres activités écologiques

Watson fut correspondant de l'association Defenders of Wildlife entre 1976 et 1980, et représentant de la Fund for Animals entre 1978 et 1981. Il fut aussi le cofondateur des associations Friends of the Wolf et Earthforce Environmental Society.

Dans les années 1980, il affirma son soutien à l'association Earth First! et devint ami avec ses dirigeants.

Il a par ailleurs travaillé avec le Parti vert de la Colombie-Britannique dans les années 1980 et 90, recueillant 15 000 votes lors des élections municipales de 1986 en Colombie-Britannique, malgré son arrestation en Islande durant sa campagne. Il se présenta au poste de maire de Vancouver en 1996, et finit 4e. Ses relations avec le Parti vert du Canada furent quant à elles nettement plus rugueuses. Il fut désigné candidat de ce parti à Vancouver en 1988, mais à la mi-campagne, il se rangea finalement du côté du Nouveau Parti démocratique.

En 2000, le Time Magazine désigna Paul Watson comme l'un des héros écologistes du XXe siècle.

En avril 2003, il fut élu au comité directeur du Sierra Club pour un mandat de 3 ans. En 2006 il démissionna un mois avant la fin des élections et ne se représenta pas, pour protester contre le soutien de l'association à un essai intitulé « Pourquoi je chasse ».

Par ailleurs, il fut aussi quelque temps professeur d'écologie à l'Université de Pasadena, et il donne de nombreuses conférences de sensibilisation à travers le monde.

Son éthique écologiste l'a poussé à devenir végétalien strict, et tous les repas servis sur les bateaux de la Sea Shepherd Foundation sont obligatoirement végétaliens.

Controverses

Certains média, ainsi que les adversaires des écologistes extrémistes, considèrent Paul Watson comme un pirate ou un « écoterroriste », thème de plus en plus en vogue à mesure que les polémiques environnementales s'accentuent. Beaucoup de militants écologistes estiment qu'il donne une mauvaise image de leur combat, et certains de ses anciens compagnons de lutte de Greenpeace ont pris leurs distances avec lui. Dans une interview donnée au Los Angeles Times, Jim Bohlen, fondateur de Greenpeace, ira même jusqu'à dire que Watson est fou.

En 1993, il fut arrêté au Canada suite à des actions contre des bateaux de pêche espagnols et cubains au large de Terre-Neuve. En 1997, la justice norvégienne condamna Watson, par contumace, pour avoir coulé le navire norvégien de pêche au requin Nybrænna en 1992. Cependant, les Pays-Bas refusèrent de l'extrader en Norvège, alors qu'il venait de passer 60 jours dans les prisons hollandaises.

Le Costa Rica voulut l'inculper pour tentative de meurtre après qu'il eut capturé un navire costaricain qui braconnait le requin, mais il fut innocenté grâce à une vidéo prise lors de l'affaire (des extraits en sont visibles dans le documentaire Les Seigneurs de la mer).

Jusqu'à aujourd'hui, toutes les tentatives de poursuites judiciaires contre Paul Watson et son association ont échoué, soit parce que les films systématiquement pris par les membres de l'association démontrèrent le non-fondé des accusation, soit parce que les navires victimes étaient eux-mêmes hors la loi. Paul Watson défend ses actions comme faisant partie du droit international, en tentant de faire respecter les réglementations de pêche.

Il fut critiqué par les associations de défenses des droits indigènes lorsqu'il protesta contre l'autorisation donnée à la tribu Makah de pêcher des baleines, dans l'État de Washington. (source : traduction partielle de l'article sur Wikipédia English)

En avril 2008, à la suite de la mort de 4 chasseurs de phoques, Watson a minimisé le drame humain, affirmant que la chasse aux phoques était un drame plus grand que la mort des chasseurs. Le lendemain de cette déclaration à la télé française RFO Saint-Pierre et Miquelon, des habitants et pêcheurs des îles Saint-Pierre et Miquelon choqués de cette déclaration chassèrent Paul Watson et l'équipage du Farley Mowat de l'archipel leur interdisant de revenir.


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Une personnalité forte, qui me force (sans difficulté) au respect.

- Site officiel de la SSCS
http://www.seashepherd.org/

- Site officiel de Sea Shepherd France
http://www.seashepherd.fr/

- le blog
http://my.seashepherd.org/NetCommunity/

samedi 17 janvier 2009

Pause musicale avec Absynthe Minded

Merci à mon homme pour la découverte (bises)

Absynthe Minded est un groupe de jazz-rock belge. (Wiki)

petit lien lalala vers le site officiel
http://www.absyntheminded.be/site/

et petit lien lalala vers leur myspace
http://www.myspace.com/absynthemindedtheband

Perso, j'aime beaucoup It Could Be et Pretty Horny Flow :)

Absynthe Minded - Pretty Horny Flow - Session acoustique

fnac

appareils photo et caméra

Avec du retard, je réponds à Priscilla (désolée) à sa question posée :
http://lizdoucefolie.blogspot.com/2008/06/douce-folie-photos-15-juin-2008-gouttes.html

Vu que ce message date de juillet ( impardonnable je suis) je fais un post réponse pour ;)


Priscilla Lopes Berges a dit…
Très sympa, tes photos de gouttes....
Tu bosses avec quel appareil?
Moi je viens de m'acheter le Canon eos 450D... je n'ai pas encore mis de photos sur mon blog, mais ça ne saurait tarder...

Coucou Priscilla,
Pour ces photos j'ai utilisé un bridge Fujifilm FinePix S5700, il a un zoom optique 10 x, très maniable, j'aime beaucoup.


Sinon, j'utilise depuis plus longtemps un appareil plus simple : un Sony DSC-P93A, moins performant et moins récent déjà, mais je continue de l'utiliser, je peux faire des effets que je ne métrise pas encore avec le Fujifilm.

Sony DSC-P93A


J'avais un petit reflex argentique
Canon, parfais pour les photos noir et blanc, mais... hum... mon chat Tequila l'a "cramé" en le faisant tomber sur une lampe...

Je vais m'essayer à la vidéo cette année, je verrais ce que ça donne :)
l'engin : Sony HDR - SR11, après les petits essais que j'ai déjà fait, je me suis rendue compte que le zoom en façade est hypersensible, celui sur l'écran est plus maniable, mais je pense que c'est une question d'habitude par la suite pour celui en façade.


Sony HDR - SR11


J'ai vu les photos que tu as postées depuis, elles sont superbes !
J'espère en voir d'autres.

Bises

Ps: j'ai vu le Canon en question, belle bête
!

Au fait, merci pour le message ;)
Bisous