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mardi 11 octobre 2011

Crea Viggo Mortensen portrait

Recyclage de carton d'emballage...
Dessin à l'aquarelle + gouache blanche sur carton.

Portrait d'après photo de Pierpaolo Ferrari pour L’Uomo Vogue 2011, promo du film "A dangerous method" de David Cronenberg. 
Viggo Mortensen

"A photo, a painting, a poem or music that we use to express our experience is not the main thing, but what you are expressing. 
How you sense the world around you is art in its own form.
To stop for one silent moment and just see what happens."
~ Viggo Mortensen (acteur, poète, musicien, photographe, peintre et éditeur américain)

A Dangerous Method
Réalisation : David Cronenberg
Scénario : Christopher Hampton, d'après sa propre pièce et le roman A Most Dangerous Method de John Kerr
Distribution -> 
Viggo Mortensen (Sigmund Freud), Keira Knightley (Sabina Spielrein), Michael Fassbender (Carl Gustav Jung), Vincent Cassel (Otto Gross), ...
Synopsis : Sabina Spielrein, une jeune femme souffrant d'hystérie, est soignée par le psychanalyste Carl Jung. Elle devient bientôt sa maîtresse en même temps que sa patiente. Leur relation est révélée lorsque Sabina rentre en contact avec Sigmund Freud...

lundi 26 septembre 2011

Crea en cours WIP A walk on the moon 01

WIP - Dessin en cours
double portrait au crayon, format A3, d'après le film « A walk on the moon » (Le choix d'une vie), 1999, de Tony Goldwyn, produit entre autre par Dustin Hoffman
avec Diane Lane, Viggo Mortensen,  Liev Schreiber, Anna Paquin.


Dessin terminé -> cliquez sur la vignette :)

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Diane Lane (Pearl Kantrowitz) , Viggo Mortensen (Walker Jerome)

The world of a young housewife is turned upside down when she has an affair with a free-spirited blouse salesman.

Although its tale of marital crisis unfolds a bit too cleanly, A Walk on the Moon--which was coproduced by Dustin Hoffman--offers a welcome relief from the juvenile assault of skull-throbbing blockbusters. The story is gently involving, the characters are authentic, and, best of all, Diane Lane is given a chance to show why she's one of the most genuine and underrated actresses of her generation. Here she plays Pearl Kantrowitz, a devoted housewife on a routine vacation in the Catskills with her TV repairman husband Marty (Liev Schreiber), 14-year-old daughter (Anna Paquin), and rambunctious younger son (Tovah Feldshuh).

It's the summer of 1969. Neil Armstrong has made his "one small step for man," Woodstock is about to happen nearby (leading to a barely plausible dramatic coincidence), and while her husband is away on business, Pearl is cautiously receptive to the seductions of "the blouse man" (Viggo Mortensen), a hippie salesman who offers the adventure and passion that Pearl sacrificed to young pregnancy and marriage. Once the stage for infidelity is set, A Walk on the Moon progresses predictably, but first-time screenwriter Pamela Gray stays true to the emotions of her characters, and actor Tony Goldwyn (making a smooth directorial debut) maintains precisely the right tone to downplay most of the movie's dramatic clichés. Add to this a sharp dynamic between Lane and Paquin, whose performances create a substantial mother-daughter relationship. Graced by stolen moments and fleeting expressions that speak volumes, this unassuming little film is eminently worthwhile. --Jeff Shannon
 
Product Description

Dustin Hoffman presents Diane Lane (MURDER AT 1600, JACK), Liev Schreiber (SPHERE, SCREAM I&II), and Viggo Mortensen (A PERFECT MURDER, THE LORD OF THE RINGS) in a provocative and sensual story about one woman's personal sexual revolution! It's the summer of 1969 and Pearl (Lane) is spending yet another vacation with her family when she realizes that the freedom of the times is passing her by. Following a chance meeting with a sexy, free-spirited young man (Mortensen), Pearl is soon doing the unthinkable: having a daring, passionate affair! Also starring Academy Award(R)-winner Anna Paquin (Best Supporting Actress, THE PIANO, 1993; SHE'S ALL THAT) in a powerful motion picture that's been called one of the year's best -- Pearl must ultimately decide between the love of her husband and children ... or the lure of her newfound desires!

source : amazon.

vendredi 9 septembre 2011

Crea double portrait Rob Roy drawing

Dessin double portrait aux crayons de couleur + un peu d'encre blanche + plaquage texture sur ordi.
Colored pencils drawing + some white ink + background texture on computer

D'après le film "Rob Roy" de Michael Caton-Jones. 
Avec Liam Neeson (Robert Roy MacGregor - Rob Roy) & Jessica Lange (Mary MacGregor).
09 Septembre 2011
Synopsis : Evocation de la légende de Robert MacGregor, dit Rob Roy, chef d'un clan de deux cents villageois au début du XVIIIe siècle dans les Highlands, qui tint tête à une aristocratie félonne et corrompue.
In the highlands of Scotland in the 1700s, Rob Roy tries to lead his small town to a better future by borrowing money from the local nobility, Marquis of Montrose, to buy cattle to herd to market. 
Unfortunately, the Marquis' lackey, Archibald Cunningham, discovers the deal and interferes. The money never shows up, the Marquis is determined to take McGregor's land as payment, and McGregor is forced to become an outlaw.

Même si Rob Roy n’est pas l’adaptation au cinéma du roman du même nom de Walter Scott, ils sont inspirés tous deux du personnage historique Robert Roy MacGregor.



Je vous souhaite un bon week-end !
De mon côté (hormis les courses, le ménage, la lecture, etc.) ce sera dessin avec une idée d'un couple (homme/femme) arbre...
je sens que je vais commencer un croquis ce soir...

mercredi 7 septembre 2011

Crea portraits Nouveau Monde 02 New World

Captain Smith & Pocahontas #02
D'après le film New World / Le Nouveau Monde
Avec Colin Farrell & Q'orianka Kilcher, réalisé par Terrence Malick.
Crayon HB - Graphite 6B - crayon papier couleur terre - craie blanche (+ quelques taches d'encre) sur papier couleur.
30 Août 2011

Captain Smith & Pocahontas #02
+ 2 citations du film / 2 quotes from the movie :
"Love... shall we deny it when it visits us... shall we not take what we are given."
"I thought it was dream... what we knew in the forest. It's the only truth."


Synopsis : En avril 1607, trois bateaux anglais accostent sur la côte orientale du continent nord-américain. Au nom de la Virginia Company, ils viennent établir "Jamestown", un avant-poste économique, religieux et culturel sur ce qu'ils considèrent comme le Nouveau Monde.
Même s'ils ne s'en rendent pas compte, le capitaine Newport et ses colons britanniques débarquent au coeur d'un empire indien très sophistiqué dirigé par le puissant chef Powhatan. John Smith, un officier de l'armée, est alors aux fers pour insubordination.
Déstabilisés, les Anglais préfèrent combattre plutôt que de s'adapter.
En cherchant de l'aide auprès des Indiens, John Smith découvre une jeune femme fascinante. Volontaire et impétueuse, elle se nommée Pocahontas, ce qui signifie "l'espiègle". Très vite, un lien se crée entre elle et Smith. Un lien si puissant qu'il transcende l'amitié ou même l'amour...

dimanche 27 février 2011

Pause ciné avec The Butterfly Circus ♥

Dernièrement, j'ai craqué pour ce court métrage hautement poétique : The Butterfly Circus, c'est un gros coup de coeur, une belle histoire sur l'espoir, le courage, le partage, l'amour et l'amitié ! et il y a un cirque !




durée : 20 minutes


Réalisateur / Director: Joshua Weigel
Writers: Joshua Weigel, Rebekah Weigel
avec Eduardo Verástegui (Mr. Mendez), Nick Vujicic (Will), Doug Jones (Otto), Matt Allmen (George), Connor Rosen (Sammy), Lexi Pearl (Anna), ...
The popular short film starring Eduardo Verastegui and Nick Vujicic is becoming a full-length feature.

http://thebutterflycircus.com/
http://www.imdb.com/title/tt1507355/


synopsis:
At the height of the Great Depression, the showman of a renowned circus leads his troupe through the devastated American landscape, lifting the spirits of audiences along the way. During their travels they discover a man without limbs at a carnival sideshow. However, after an intriguing encounter with the showman he becomes driven to hope against everything he has ever believed.


The Butterfly Circus (Teaser)



pour voir le court métrage en entier :
http://www.thedoorpost.com/hope/The Butterfly Circus/

jeudi 2 décembre 2010

Pause ciné avec Dear Frankie ♥

Avant hier soir, j'ai regardé le film Dear Frankie
C'est un film riche en émotions et en sensibilité. 
Le tout avec une histoire simple, touchante et très belle. 
Les acteurs jouent juste et simplement.
Un film qui mérite d'être plus connu.



Synopsis : 
Elevant seule son fils Frankie, aujourd'hui âgé de 9 ans, Lizzie vient de s'installer dans une petite ville du littoral écossais - après plusieurs années de déménagements incessants. Pour que Frankie, atteint de surdité, ne souffre pas trop de l'absence de son père, Lizzie explique que ce dernier est marin au long cours et se trouve actuellement à bord du vaisseau Accra. Une invention que Lizzie s'applique à rendre vraisemblable en écrivant régulièrement au petit garçon des lettres prétendument expédiées par son père depuis des pays exotiques...

Genre : Comédie dramatique 
avec Emily Mortimer, Gerard Butler, Jack McElhone, Mary Riggans, Sharon Small...
réalisé par Shona Auerbach


Dear Frankie (2004) 

http://www.miramax.com/dearfrankie/

mercredi 10 novembre 2010

Pause ciné avec Jane Eyre ♥

Bance annonce du prochain "Jane Eyre "
film réalisé par Cary Fukunaga, avec Mia Wasikowska dans le rôle de Jane Eyre, Michael Fassbender (que j'adore) dans le rôle de Rochester, Judi Dench dans le rôle de Mrs. Fairfax

directed by Cary Fukunaga, starring Mia Wasikowska as Jane Eyre and Michael Fassbender as Rochester, Judi Dench as Mrs. Fairfax


Aimant autant le roman de Charlotte Brontë que certaines adaptations pour le cinéma et la télévision, 
j'ai hâte de voir celle-ci :



vendredi 20 août 2010

Blablabla... and Welcome!

Pas de Blabla,
par contre : Bienvenue à un nouveau membre de ce blog.

Welcome john! :)




edit :
Finalement si, un petit blabla ->

Adultes... évitez d'aller voir le film : "L'apprenti Sorcier" (The Sorcerer's Apprentice) de Jon Turteltaub .
Hormis le jeu de Nicolas Cage, quelques effets spéciaux, un clin d'oeil rapide à Star Wars,
ainsi qu'un remake de l'Apprenti Sorcier de Fantasia (avec Mickey de Disney), le film est décevant.
Personnellement je n'ai pas aimé le jeu du jeune acteur jouant le rôle de Dave, l'apprenti sorcier (Jay Baruchel),
il a surjoué et/ou très mal joué, au choix.

vendredi 18 décembre 2009

Liberté - un film de Tony Gatlif

"Petit" post pour un grand film, en mémoire d'une partie mes ancêtres.
 

Rencontre entre un réalisateur incroyable (Tony Gatlif)
et un artiste poète (James Thiérrée)
le temps d'un film : Liberté





liberte tony gatlif James Thierree


Liberté, un film de Tony Gatlif

* Drame
* Date de sortie : 24 Février 2010


liberte tony gatlif


Synopsis :
Théodore, vétérinaire et maire d’un village situé en zone occupée pendant la seconde guerre mondiale, a recueilli P’tit Claude, neuf ans, dont les parents ont disparu depuis le début de la guerre. Mademoiselle Lundi, l’institutrice fait la connaissance des Tsiganes qui se sont installés à quelques pas de là. Ils sont venus pour faire les vendanges dans le pays. Humaniste et républicaine convaincue, elle s’arrange, avec l’aide de Théodore, pour que les enfants Tsiganes soient scolarisés. De son côté, P’tit Claude se prend d’amitié pour Taloche, grand gamin bohémien de trente ans qui se promène partout avec son violon sur l'épaule. Mais les contrôles d’identité imposés par le régime de Vichy se multiplient et les Tsiganes, peuple nomade, n’ont plus le droit de circuler librement : Théodore cède alors un de ses terrains aux bohémiens, désormais sédentarisés. Tandis que les enfants Tsiganes suivent les cours de Mademoiselle Lundi, P’tit Claude est de plus en plus fasciné par le mode de vie des Bohémiens – un univers de liberté où les enfants sont rois. Mais la joie et l’insouciance sont de courte durée : la pression de la police de Vichy et de la Gestapo s’intensifie et le danger menace à chaque instant. Comme ils l’ont toujours fait depuis des siècles, les Tsiganes devront reprendre la route…



Avec : Marc Lavoine , Marie-Josée Croze , James Thierree, Rufus,
Carlo Brandt, Arben Bajraktaraj, Georges Babluani, Bojana Panic



Vidéo France 3 ->









(photos du film et entretien avec Tony Gattlif, ...)



Extrait de l'entretien :

"Comment est née l'idée de LIBERTÉ ?
J'avais envie de faire un film sur l'holocauste des roms depuis que j'ai commencé à faire du cinéma. Mais le sujet me faisait peur. Les Roms que je rencontrais me disaient souvent : "Fais-nous un film sur la déportation des Roms".
Début 2007, participant à un colloque international des Roms à Strasbourg, des jeunes élus roms de la communauté européenne m'ont fait la même demande. Ils me disaient à quel point ils souffraient de ce manque de reconnaissance, de l'ignorance des autres vis-à-vis de leur propre histoire.
Je ne voyais pas comment faire ce film, moi qui suis un cinéaste qui aime la liberté de la caméra, comment respecter les règles d'une stricte reconstitution. Et je reculais de peur de mal faire en réalité.
Et puis un jour, j'apprends que Jacques Chirac va rendre hommage aux Justes en les réunissant au Panthéon. Je me suis dit : on va enfin savoir si certains Justes ont sauvé des Tsiganes. Malheureusement ils n'étaient pas présents. Je me suis mis à les chercher.
J'ai fini par trouver une anecdote de quelques lignes : "Le destin d'un dénommé Tolloche fut particulièrement tragique. Interné à Montreuil- Bellay, il réussit à se faire libérer après avoir acheté, par l'intermédiaire d'un notaire, une petite maison à quelques kilomètres de la ville. Incapable de vivre entre quatre murs, il reprit la route pour retourner dans son pays d'origine, la Belgique. Il fut arrêté dans le Nord et disparut en Pologne avec ses compagnons d'infortune".
C'est le destin de ce Tolloche qui a pris tous les risques pour sauvegarder sa liberté qui m'a décidé à faire ce film. Et puis il y a ce Juste, un notaire, qui lui aussi a pris tous les risques pour tenter de le sauver...


(...)


Comment avez-vous écrit Liberté ?
J'ai écrit la première trame du scénario en un mois. Je me suis libéré du poids que je portais depuis longtemps. Tout est devenu clair lorsque j'ai compris que je ne pouvais raconter cette histoire qu'à travers deux Justes. Théodore, un maire et vétérinaire de village et Mlle Lundi, l'institutrice. Les deux m'ont été inspirés de personnages qui ont existé : Théodore, le notaire qui a tenté de sauver Tolloche et sa famille et Mlle Lundi d'après l'histoire vraie d'une institutrice, Yvette Lundy, qui travaillait à Gionges dans la Marne. Résistante, elle fut arrêtée puis déportée. Elle m'a aidé à travailler toutes les scènes qui concernent son personnage et l'école.
Je me suis aussi beaucoup servi de mon histoire personnelle et de gens qui m'ont aidé dans mon enfance et ma jeunesse : mon instituteur, mes éducateurs, ma professeur d'art dramatique. Je connais bien les Roms de tous les pays, je sais comment ils sont. Entre aujourd'hui et 1940, ils n'ont pas changé. Je n'ai eu aucun mal à les décrire. J'ai reconstitué une famille tsigane, qui traverse l'Europe et qui a été coincée en France par la guerre. Pendant un an, j'ai travaillé sur cette reconstitution. Les hommes ont laissé pousser leurs cheveux et leurs moustaches. Tous les acteurs ont fait un régime car à cette époque il n'y avait pas à manger. Nous avons construit trois roulottes identiques à celles de 1940. Les Tsiganes nomades ne sont pas quelque part, on ne va pas les chercher. Un jour, ils arrivent au bout d'un chemin au fond d'un bois, on les voit apparaître comme le vent. On ne sait pas d'où ils viennent, on sait juste quand ils arrivent. Pour leur première apparition dans le scénario, je les ai décrits de cette façon. Une fois cette ébauche de scénario terminée, je me suis aperçu qu'il me manquait l'âme tsigane.
L'âme tsigane n'est pas facile à raconter et à faire comprendre. Il n'y a pas de mot dans la langue tsigane pour signifier Liberté. Les Tsiganes n'emploient pas ce mot car ils sont libres. Il fallait que je trouve un personnage qui, à travers sa pureté, sa naïveté, sa fantaisie, sa liberté, ses folies, représenterait toute la communauté rom. Ce fut Taloche. Il m'a fallu ensuite près d'un an pour arriver au scénario final. En écrivant ainsi, j'ai du même coup approché les raisons du silence qui entoure Samudaripen (le génocide des roms). Les Tsiganes ont peur des fantômes. Lorsqu'ils entrent dans une cave, ils en sortent en courant de peur d'y croiser des revenants. Taloche est ainsi : il a peur des morts. Que s'est-il passé à la fin de la guerre, lorsque les Tsiganes ont compris que des centaines de milliers d'entre eux avaient péri exterminés ? Ils ont eu peur de ces morts, peur de les réveiller, peur qu'ils reviennent. Peur d'en parler, en définitive. Aujourd'hui c'est fini, mais cette crainte a existé jusque dans les années 80.


(...)


James Thiérrée, qui joue le personnage de Taloche, n'est pas rom...
C'est exact. Pour ce rôle, je voulais un musicien, quelqu'un qui soit à la fois capable de jouer de la musique, de monter aux arbres et d'en tomber. Sans tricher... Impossible a priori de trouver un tel acteur. Et puis un jour, j'ai vu James au Théâtre de la Ville à Paris. Je n'avais jamais vu ça. J'étais impressionné. C'est l'acteur dont je rêvais pour ce rôle.
N'étant pas rom, il a fait un travail énorme pour l'être. Pendant six mois, il a appris à parler la langue rom, à jouer de la musique tsigane et surtout à se laisser posséder par la liberté de Taloche.


liberte James Thierree


(...)


En voyant le film, on est frappé par votre volonté de casser les clichés, même si la représentation des roms que vous faites est très précise.
Dans LIBERTÉ, j'ai cherché à démythifier certains clichés. Par exemple pour la musique, il y a cette scène où on les voit donner un concert à... des poules ! Je me suis amusé de ce cliché bien que la musique, dans les films et concerts, ait contribué à faire aimer et accepter les Tsiganes.
Je voulais les montrer tels qu'ils sont, par exemple maquignons, forgerons, musiciens. Et s'ils refusent que leurs enfants aillent à l'école c'est de peur qu'ils ne perdent leur âme.
La scolarisation des enfants roms, c'est le problème majeur encore aujourd'hui. Dans LIBERTÉ l'école est un lieu central. Sauf que s'ils veulent bien y aller, c'est à la condition que les enfants soient payés car ils considèrent que c'est un travail. Finalement, ils décident quand même de s'y rendre mais c'est avant tout pour manger, pour profiter de la distribution de gâteaux que fait l'institutrice, Mlle Lundi. D'ailleurs, une fois leur portion avalée, ils déguerpissent


(...)


Et avec James Thiérrée ?
Je lui racontais souvent des anecdotes roms que je connaissais pour "l'habiter". Je voulais que Taloche ait des antennes, qu'il sente le danger. Comme les oiseaux qui sentent l'orage arriver. James est comme ça, animal. Un exemple : pour une scène de danse, je lui ai écrit une musique de guerre avec des gens qui crient en rom : "Ne tirez pas !", "Arrêtez le meurtre !". Quand James est arrivé et que je lui ai demandé de danser sur cette musique, on avait l'impression qu'il faisait l'amour avec la terre, qu'il était en osmose avec elle. Un animal qui baisait la terre."


Liberte film de Tony Gatlif

mercredi 8 avril 2009

Pause musicale + Ciné avec The Arcade Fire ♥


Pause musicale :
titre : Rebellion (Lies) - album : Funeral

source : guz

-------

Pause ciné :


Photobucket

Where The Wild Things Are
(date de sortie : le 14 October 2009 pour la France)
http://www.imdb.com/title/tt0386117/
Musique d'Arcade Fire pour la bande annonce du film



source :
TheFilmStage


------

http://www.myspace.com/arcadefireofficial
http://www.arcadefire.com/

vendredi 3 avril 2009

Nouvelle bannière-entête

Nouvelle bannière pour le mois d'Avril !

-> avec une mise en scène d'un de mes films cultes :
Fur (Fur: An Imaginary Portrait of Diane Arbus)
http://www.imdb.com/title/tt0422295/
+ une petite photo du prochain film de Tim Burton : Alice In Wonderland.

"Fur" s'inspire également d'Alice aux pays des Merveilles,
et comme je suis une fan inconditionnelle de cette histoire...
(ok... surtout du Chapelier Fou ;) )
.


Edit :
bannière en question -> cliquable pour voir la totalité
fur alice

mardi 24 mars 2009

Pause ciné avec Satra - Tabor Ukhodit v Nebo ♥

Les Tsiganes montent au ciel
▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪
Satra
Табор уходит в небо - Tabor ukhodit v nebo
Gypsies Are Found Near Heaven
The Gypsy Camp Vanishes into the Blue



1975
http://www.imdb.com/title/tt0073781/



Réalisation : Emile LOTEANU (Эмиль ЛОТЯНУ)
Scénario : Emile LOTEANU (Эмиль ЛОТЯНУ)

Interprétation
Pavel ANDREITCHENKO (Павел АНДРЕЙЧЕНКО)
Borislav BRONDOUKOV (Борислав БРОНДУКОВ)
Ivan CHKOURIA (Иван ШКУРЯ)
Serdjou FINITI (Серджу ФИНИТИ)
Grigore GRIGORIU (Григоре ГРИГОРИУ)
Barasbi MOULAEV (Барасби МУЛАЕВ)
Lialia TCHERNAIA (Ляля ЧЕРНАЯ)
Svetlana TOMA (Светлана ТОМА)

Images : Sergueï VRONSKI (Сергей ВРОНСКИЙ)
Décors : Felix YASSIOUKEVITCH (Феликс ЯСЮКЕВИЧ)
Musique : Evgueni DOGA (Евгений ДОГА)
Ingénieur du son : Mark BRONCHTEIN (Марк БРОНШТЕЙН)
Production : Mosfilm

Prix et récompenses :
Meilleure réalisation à San Sebastian (1976); Premier prix à Belgrade et Prague (1977)
DVD avec sous-titres - Editeur : Ruscico

Synopsis
L'action se déroule au cours de la deuxième moitié du XIXème siècle dans une province de Bessarabie non loin de l'Empire austro-hongrois. Quatre tziganes galopent dans les montagnes : ce sont des voleurs de chevaux. Ils concluent avec un riche marchand une transaction fondée sur la dette d’honneur : la ruse du propriétaire s’incline là devant le magnétisme de Zobar, le chef des voleurs. Au cours d’une expédition, les tziganes sont surpris et poursuivis par l’armée austro-hongroise : trois d’entre eux meurent sous la mitraille impitoyable des soldats. Zobar, blessé, parvient à leur échapper et tombe épuisé dans un champ. Une belle et mystérieuse tzigane surgit mystérieusement dans la broussaille, guérit Zobar avec de « la poussière de lune », et disparaît. Zobar rentre au camp, retrouve les siens, mais il est hanté par le souvenir de la magicienne. On le voit ensuite, au cours d’une expédition, faire une halte chez Youlichka, une jeune autrichienne blonde et douce, aveugle, avec qui il entretient une relation tendre fondée sur la compassion. Mais Zobar est recherché et, pour sauver sa tribu, menacée de représailles, son père le livre à la police. Zobar est condamné à la pendaison : au moment de l’exécution, le farouche héros est sauvé par son cheval, amené jusqu’au pied du gibet par son fidèle compagnon d’aventures, lequel est tué par la police alors que les deux hommes s’enfuient. L’errance reprend pour Zobar, mais ensorcelé par la beauté de Rada, la magicienne, il la rejoint. Elle vient de refuser une demande en mariage du gentilhomme Silad, prêt à sacrifier sa fortune à l’amour qu’il lui voue. Rada est une femme libre : elle ne conçoit pas la vie hors du voyage. Mais Zobar est de sa race : irrésistiblement attirés l’un vers l’autre, les deux héros célèbrent leur union, au milieu des danses et des chants de la tribu. Pourtant, au lendemain d’une nuit de volupté, Rada a disparu. Zobar la rejoint et, reconnaissant qu’il est devenu l’esclave de la tzigane, il la demande solennellement en mariage. Celle-ci, dans un suprême acte de fierté provoque son amant, l’humiliant publiquement. Mortellement blessé dans son honneur, Zobar la poignarde dans une étreinte passionnée. Le père de Rada venge sa fille : il poignarde à son tour le meurtrier.

Commentaires
L’histoire est un éloge rendu au peuple tzigane, à son irréductible fierté, à la singularité mystérieuse de sa passion pour la liberté, conquise au prix de sacrifices qui toujours ont une issue tragique. La lutte avec la police des voleurs de chevaux, qui meurent attachés à leur monture plutôt que de se rendre, le refus de Zobar et de Rada de vivre un amour qui leur semble une prison, sont les faits dominants du film : ils exaltent le sens de l’honneur des protagonistes, qui ne s’inclinent que devant la mort. La dimension historique du récit souligne la persécution permanente que l’ordre social, économique (le marchand) et politique (la police), inflige au peuple nomade. L’histoire passionnelle qui unit et sépare Zobar et Rada est montrée en contrepoint de l’amour éprouvé par le gentilhomme pour Rada et par Youlichka pour Zobar. Silad et Youlichka appartiennent à l’ordre bourgeois, celui qui paie pour satisfaire ses convoitises, et celui qui condamne au gibet un homme dont la tendresse a conquis le cœur de la jeune aveugle. La passion des tziganes est de celles qui ne s’achètent ni ne se soumettent. Elle est liée à la magie : envoûtante et maléfique, elle appartient à des forces secrètes, irréductibles à l’ordre humain.
La musique enveloppe le film de sa beauté tragique : elle règne sur les scènes de fêtes, auxquelles les danses et les chants des femmes donnent leur pouvoir d’envoûtement, et sur les scènes de deuil où s’exprime la pathétique sagesse du peuple voué à la malédiction.

source :
http://www.kinoglaz.fr/u_fiche_film.php?lang=fr&num=782
This colourful, music-filled and sensual melodrama based on early stories by Maxim Gorky tells the fatal love story between the beautiful and rebellious girl Rada and the handsome horse thief Zobar. The story is set in early 20th century Bessarabia, now part of Moldova, then belonging to the Austro-Hungarian Empire.

The film is based on the early stories by the outstanding Soviet writer Maxim Gorky.
There are several interwoven love lines in this beautiful, poetic drama: of the proud beauty Rada who bewitched the horse thief Loiko Zobar, of golden-haired Yulishka who was in love with Loiko, of noble Siladi, passionately enamored of Rada… The action in the Gypsy camp is set against the background of lifestyle and traditions of the Austro-Hungarian Empire’s provincial outskirts – the late 19th-century Bessarabia.

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source pour la vidéo :
noiseemitter

mardi 13 janvier 2009

Pause ciné avec Australia ♥

Encore un film que j'adore et déjà accroc : Australia, réalisé par Baz Luhrmann,
Belle réalisation.
Dès que j'ai vu la bande annonce j'ai su que je serais sous le charme.

Décidément, ce réalisateur ne m'a jamais déçu, déjà je suis fan de Moulin Rouge et j'aime Romeo + Juliette (je sais que miss Aurore adore ce dernier ;) )

Australia avec Nicole Kidman, Hugh Jackman, David Wenham , Brandon Walters, David Gulpilil, Jack Thompson...


Autralia
Synopsis


Fin des années 30. Lady Sarah Ashley, une aristocrate anglaise hautaine et renfermée, arrive au coeur des paysages sauvages du Nord de l'Australie pour y rejoindre son mari qu'elle soupçonne d'adultère, et qui tente - sans succès - de vendre l'immense domaine qu'ils possèdent sur place : Faraway Downs.
Elle ne tarde pas à découvrir que l'exploitation est au bord de la ruine et menacée par son propre contremaître, Neil Fletcher, un homme sans scrupules de mèche avec un puissant éleveur, prêt à tout pour précipiter la chute du domaine et s'en emparer. Pour sauver Faraway Downs, Sarah n'a pas d'autre choix que de s'allier à un "cow-boy" local un peu rustre connu sous le seul nom de "Drover", et de parcourir avec lui des milliers de kilomètres à travers les terres aussi magnifiques qu'inhospitalières du pays afin de mener jusqu'à Darwin 1500 têtes de bétail. Peu à peu transformée par la puissance et la beauté des paysages, touchée par la rencontre d'un jeune aborigène orphelin, Sarah découvre des sentiments qu'elle n'avait jamais éprouvés jusqu'alors. Au terme de leur périple, la seconde guerre mondiale a rattrapé l'Australie, et la ville de Darwin doit désormais faire face aux bombardements japonais. Pour la première fois de sa vie, Sarah sait pour qui et pour quoi se battre, et est prête à tout pour sauver ce qui compte désormais pour elle.

source: Allocine

J'aime autant l'histoire, la magie qui flotte dans l'air, que le point historique soulevé lors du film sur la "génération volée", c'est bouleversant.
Surtout quand on sait qu'il faudra attendre fin 2007 pour des excuses officielles par le gouvernement fédéral Australien aux Aborigènes et aux indigènes du Détroit de Torres et février 2008 pour entendre enfin le dit discours de repentance et pardon.
(Stolen Generations - plus d'info ici : fr.wikipedia.org/wiki/Générations_volées )Le film est émouvant, des notes d'humour le ponctuent ainsi que des notes plus tristes parfois, ou d'autres encore, ancrés dans la passion des protagonistes ou de leur félonie.
Le fait que Sarah s'attache à Nullah, et que cette dernière ne peut avoir d'enfant, ce détail m'a profondément touché.
La période : fin des années 30, l'inspiration de Baz Luhrmann pour les vieux films des années 30 jusque 50 avec l'humour qui si attache, j'ai apprécié.
La Passion qui se dégage de la relation entre les deux personnages principaux : Sarah et Drover, leur Amour magnifique, grand et profond ; la vie de nomade de Drover et lorsqu'il insiste sur son besoin de liberté ; la force de caractère de tous les deux ; la relation mystique entre le jeune Nullah (superbement interprété par Brandon Walters) et son grand-père sorcier qui s'est surnommé "King George" (très belle interprétation également de David Gulpilil) ; la référence que fait Sarah au Magicien d'Oz et le fait que ce film passe ensuite au cinéma en pleine air et que Mullah le découvre, sont tant et tant d'éléments du film, un tout que j'adore.
Le jeu des acteurs : rien à redire, la musique est agréable, les décors sont incroyablement beaux et grandioses.
Mandy Walker a fait un travail fabuleux sur la photographie, chapeau aussi à Catherine Martin pour les costumes (surtout féminins).




la bande annonce :

samedi 9 août 2008

Pause ciné avec Bye Bye Blackbird ♥

Bye bye Blackbird

Je suis amoureuse de ce film, de l'histoire, des personnages...
I'm in love with this movie, the story, the characters
...





Londres, au début du siècle, un cirque itinérant. Quand Josef tombe amoureux d'Alice, bel oiseau trapéziste, il prend son envol pour la conquérir. De leur amour naîtra un numéro féérique et sensuel, périlleux pour leur corps et leur âme...
Ouvrier sur des chantiers en hauteur au début du siècle dernier, Josef voit son meilleur ami disparaître dans des circonstances étranges. Il s'engage alors dans un cirque pour rejoindre Alice, jeune et belle trapéziste avec laquelle il s'est mis en tête de partager un numéro de voltige.
Lord Dempsey, le père d'Alice, cède peu à peu à ses caprices, séduit par le talent d'acrobate du jeune homme et par la nécessité d'insuffler du sang neuf à son cirque déclinant.
Le jour de la première approche tandis que Nina, sombre écuyère et fille adoptive de Lord Dempsey, s'identifie en silence au désir qui grandit entre Alice et Josef.

Mais comme c'est souvent le cas dans le monde imprévisible du spectacle, l'issue du numéro n'est pas celle que l'on attend, et succède à ce moment magique une tragédie qui fait de Josef une bête de foire, et qui révèle à chacun des personnages son vrai visage.

This period drama set in the early years of the 20th century features a bravura performance by James Thiérrée ♥ (grandson of the late great Charlie Chaplin) who choreographed the thrilling aerial sequences and shares with his legendary forebear a prodigious gift for physical business. Thiérrée plays Josef, a former construction worker who delighted in dancing on girders high above the city but who now sweeps up at the circus. Once the big top's owner spots the young roustabout defying gravity on the trapeze, however, he endeavors to pair Josef with his aerialist daughter Alice in a perilous sky-high pas de deux.
First-time feature director Robinson Savary deftly offers a romantic view of big top life, with a poetic sensibility that speaks to the heart. Enhanced by cinematographer Christophe Beaucarne's incandescent compositions, the graceful young actor is mesmerizing and heartbreaking, the very picture of a moth-eaten angel in his feathered, tattered costume.


http://www.imdb.com/title/tt0395488/


From: rosapurpurea

vendredi 30 novembre 2007

Coffee and Cigarettes - extrait

Tom Waits et Iggy Pop,extrait du film de Jim Jarmusch "Coffee and Cigarettes"



From: decay1966

jeudi 8 novembre 2007

Sweeney Todd de Tim Burton








...décompte pour les USA.

Sweeney Todd de Tim Burton